M’inspirant du mouvement supports/surfaces, je suis parti de la déconstruction du tableau en révélant ses constituants (châssis, toile, peinture).
Tout en sachant qu’un objet exposé est une représentation de lui même et devient une image, j’ai incorporé des signes peints, des objets et textures (couverts, nappes, tabourets) dans un dialogue intrinsèque entre l’image et la matérialité.
La table devient tableau et le tableau table dans son déplacement de l’horizontal (au moment du processus) a la verticale (à l’accrochage au mur).
L’image et la matérialité du support fonctionnent comme une tautologie.








